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«Une définition de la Révolution »

 

Monseigneur Gaume (fin XIXe) donne à la révolution la définition suivante :

« Si arrachant son masque vous lui demandez qui es-tu ? Elle vous répondra : je ne suis pas ce que l'on croit. Beaucoup parlent de moi, mais peu me connaissent. Je ne suis ni l'émeute, ni e changement de monarchie en république, ni la substitution d'une dynastie à une autre... Je ne suis ni le hurlement des jacobins, ni la fureur de la montagne, ni le combat des barricades, ni le pillage, ni l'incendie, ni la guillotine, ni les noyades.

Je ne suis ni Marat, ni Robespierre, ni Babeuf... Ces hommes sont mes fils, ils ne sont pas moi. Ces hommes et ces choses sont des faits passagers, moi je suis un état permanant. Je suis la haine de tout ordre que l'homme n'a pas établi et dans lequel il n'est pas roi et Dieu tout ensemble. Je suis la fondation de l'Etat religieux et social sur la volonté de l'homme, au lieu de la volonté de Dieu. Je suis la proclamation des droits de l'homme sans Dieu. Je suis Dieu détrôné et l'homme à sa place... »

Tout est dit. La Révolution c'est tout bouleverser, tout détruire, tout oublier. C'est refuser l'ordre de la création inscrit par Dieu dans le coeur de tout homme. C'est plonger l'homme dans le matérialisme et dans le mal, c'est amener les hommes à se haïr entre eux et à s'entretuer. C'est le mensonge, le désordre, la haine, l'esclavage, la barbarie, le matérialisme et la mort. C'est l'oeuvre de Satan !

Paris le 28/10/2004

 

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