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«La Révolution c'est d'abord la haine de Dieu »

Lénine nous le dit : Dieu est l'ennemi personnel de la Révolution et donc la révolution est l'ennemie de Dieu. Viviani, un des laïcards les plus déchaînés de la IIIème République révèle les véritables desseins de la Révolution : « Tous ensemble, nous nous sommes attachés dans le passé à une oeuvre d'irreligion. nous avons arraché la conscience à la croyance. Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des étoiles qu'on ne rallumera pas ..Voila notre oeuvre révolutionnaire.»

D'ailleurs le programme de Jules Ferry n'était pas autre «mon but est d'organiser une société sans Dieu.» ou encore Gambetta : « Nous avons l'air de combattre pour une forme de gouvernement, pour l'intégrité de la constitution. La lutte est plus profonde : la lutte est contre tout ce qui reste du vieux monde, entre les agents de la théocratie romaine et les fils de 89.  » Voltaire avit également un programme similaire qu'il résumait en ces mots sataniques : « il faut écraser l'infâme » .

La Révolution comme violence et haine envers le prochain

  La Révolution est une idéologie totalitaire, elle englobe tout, elle rase tout sur son passage. Elle ne peut se tenir que par la violence et la terreur. D'ailleurs , il ne peut y avoir de civilisation, de culture fondées sur l'anarchie révolutionnaire.

Ainsi la conçoit Jean Jaurès : « La force des choses fait de chaque citoyen l'ennemi naturel, le surveillant de son voisin. Il y a là un système de gouvernement par l'intérêt et la haine d'autrui. » La Révolution est contre tout ce qui fait l'ordre, la pensée, la société : contre l'autorité, la vérité, l'amour, la religion, l'intelligence. C'est une régénérescence du genre humain.

Tous ceux qui se revendiquent d'avant la Révolution doivent être exterminés : « Il ne s'agit plus de punir les ennemis de la patrie, il s'agit de les anéantir. » dit Saint Just. Ainsi, les hommes sont dressés les uns contre les autres dans un climat de suspiscion et de haine, comme l'illustre cette phrase de Carrier, spécialiste de la noyade des vendéens et des "mariages républicains" entre un prêtre et une religieuse : « Tout le monde est suspect, jusqu'à la sonnette du président » .

Lénine appliquait la méthode d'action théorisée par Engel : « La Révolution est un acte par lequel une partie de la population impose ses volontés à coups de fusils, de baïonnettes, de canons. Le parti qui a vaincu est dans la nécessité de maintenir sa domination au moyen de la terreur. » Et cela se vérifie dans les faits, dans toutes les révolutions. Entre les boucheries et les noyades de la Vendée en 1794 et les massacres au Cambodge en 1980, c'est la même idéologie, ce sont les mêmes méthodes.

Paris le 28/10/2004

 

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